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Le ministre des Finances a présenté le projet de budget du gouvernement au parlement

Le projet de budget de l’État pour 2023 sera discuté en général au parlement les 26 et 27, le vote global final sur le diplôme étant prévu le 25 novembre.

Accompagné de la ministre adjointe aux Affaires parlementaires, Ana Catarina Mendes, et de son équipe de secrétaires d’État du ministère des Finances, Fernando Medina est entré au Parlement à 13h07 et a été reçu quelques minutes plus tard par le président de l’Assemblée de la République. , Augusto Santos Silva. .

En début d’après-midi, Fernando Medina présente en conférence de presse la proposition de budget de l’État pour 2023, un diplôme approuvé lors d’une réunion extraordinaire du Conseil des ministres dimanche et dont le scénario macroéconomique a été présenté vendredi aux partis à représentation parlementaire.

Selon ce scénario macroéconomique, on s’attend l’année prochaine à une décélération de la croissance du produit intérieur brut (PIB) à 1,3 % en 2023, accompagnée d’une réduction du taux d’inflation de 7,4 %, cette année, à 4 % l’année prochaine.

Le gouvernement a décidé de maintenir l’objectif de déficit de 1,9% du PIB prévu pour 2022 et projette une baisse à 0,9% en 2023 – année au cours de laquelle il anticipe une réduction du poids de la dette publique de 110,8% du PIB.

Parmi les principales mesures qui devraient être incluses dans la proposition de budget figurent une mise à jour régulière des niveaux de revenus de l’IRS en 2023 sur la base de l’appréciation salariale de 5,1 %, visant à garantir la neutralité fiscale des mises à jour salariales, et une réduction sélective de l’IRC.

Le budget de l’État entre au Parlement au lendemain de la conclusion par le gouvernement et les partenaires sociaux, à l’exception de la CGTP-IN, d’un accord à moyen terme sur les revenus, les salaires et la compétitivité.

Entre autres mesures, l’accord prévoit une augmentation des salaires de 5,1% l’année prochaine et de 4,8% l’année suivante, une augmentation du salaire minimum national de 705 euros actuels à 760 euros en 2023 et une augmentation de 50% des coûts avec revalorisation salariale en IRC pour les entreprises qui augmentent les salaires en ligne avec ou au-dessus des valeurs prévues dans l’accord.

En septembre, l’exécutif a annoncé que les pensions jusqu’à 886 euros augmenteraient de 4,43 %, tandis que celles d’une valeur comprise entre 886 et 2 659 euros augmenteraient de 4,07 %, et le reste (qui serait sujet à actualisation en tenant compte de la législation formule en vigueur) augmentera de 3,53 %.

En début de semaine dernière, l’exécutif a proposé aux syndicats de l’administration publique des augmentations de salaire comprises entre 8% et 2%, avec une garantie d’un minimum d’environ 52 euros par an jusqu’en 2026.

L’augmentation annuelle minimale pour la fonction publique équivaudra à une modification du niveau de salaire (environ 52 euros), variant entre 8 % pour la rémunération la plus basse du tableau, qui est de 705 euros, et 2 % pour les gains à partir de 2 570,82 euros.

PMF (AAT/DF) // JPS

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