Selon CP – Comboios de Portugal, au cours de cette période, 538 trains ont circulé, avec un taux de suppression de 19,3 %.
Parmi les trains régionaux, 66 des 201 prévus ont été annulés, atteignant un taux de suppression de 32,8 %, le plus élevé.
Les trains long-courriers ont suivi, avec un taux de suppression de 19,6%, dans lequel 41 des 51 trains programmés ont été effectués et 10 ont été supprimés.
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Dans la ville de Lisbonne, 39 des 257 trains prévus ont été annulés et à Porto, 10 des 135 prévus n’ont pas été exécutés.
En ce qui concerne les projets urbains à Coimbra, 19 des 23 prévus ont eu lieu, dont seulement quatre ont été supprimés.
Après plusieurs jours de grève entre 00h00 et 02h00 et une journée entière jeudi dernier, jusqu’au 30 avril, la grève chez Infraestruturas de Portugal (IP) et chez CP débutera à la huitième heure de service.
Jusqu’à la fin du mois, « au CP, les travailleurs dont la période normale de travail couvre plus de trois heures pendant la période comprise entre 00h00 et 05h00, se mettront en grève à partir de la septième heure de service ».
Jusqu’au 30 avril, chez IP, « les travailleurs dont la période normale de travail couvre plus de trois heures pendant la période comprise entre 00h00 et 05h00, se mettront en grève à partir de la septième heure de service ».
Ces grèves ont été édictées par une plate-forme syndicale composée de l’Ascef – Syndicat des Cadres Intermédiaires de l’Exploration Ferroviaire, SINFB – Syndicat National des Cheminots de Braçais et assimilés, Sinfa – Syndicat Indépendant des Cheminots, Infrastructures et assimilés, Fentecop – Syndicat National des Transports, Communications et Travaux Publics, SIOFA – Syndicat Indépendant des Cheminots et assimilés, Assifeco – Association Syndicale Indépendante des Cheminots de Commerce et STF – Services Techniques Ferroviaires.
Le Syndicat national des conducteurs des chemins de fer portugais (Smaq) est également en grève tout au long du mois d’avril, compte tenu de « l’attitude irresponsable » dont il accuse l’entreprise.
Parmi les revendications des ouvriers figurent « des augmentations de salaire effectives », la « valorisation de la carrière de traction » et l’amélioration des conditions de travail dans les cabines de conduite et les équipements sociaux et des conditions de sécurité sur les lignes et les parcs de protection du matériel moteur. .
On déplore encore une « humanisation des horaires de service, des horaires de repas fixes et une réduction des repos hors siège », un « protocole efficace de suivi psychologique des conducteurs de train en cas d’accidents et d’accidents » et la « reconnaissance et appréciation des les exigences professionnelles et la formation des conducteurs de train par le nouveau cadre législatif ».
ATR(LT/ALYN/PD) // LFS