Selon les données de CP — Comboios de Portugal, 97 liaisons ferroviaires ont été réalisées sur les 127 prévues, de sorte que la défaillance des services actuels était d’environ 23,6 %.
L’incidence la plus élevée a été observée dans les régionales, dans lesquelles sur les 36 prévues, 25 ont été réalisées et 11 (30,6%) ont été supprimées.
Quant aux urbaines de Lisbonne, 58 étaient programmées, 13 supprimées et 45 exécutées ; les urbaines de Porto étaient au nombre de 26, mais seulement 17 ont eu lieu, dont six ont été supprimées.
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A Coimbra, la grève n’a pas eu d’impact sur cette période, les deux déplacements prévus ayant été effectués.
La même chose s’est produite avec les huit trains long-courriers réguliers, qui sont tous partis comme prévu.
La grève a été déclenchée par le Syndicat national des chauffeurs des chemins de fer portugais (SMAQ) contre la dernière proposition d’augmentations salariales de 51 euros, ce qui représente une progression de carrière moyenne de 3,89 %, ce que la structure syndicale juge « manifestement inacceptable ».
Ainsi, les travailleurs étaient en « grève pour effectuer n’importe quel travail » des catégories représentées par le SMAQ, des dernières heures du 9 aux premières heures du 11, après quoi une grève pour le travail supplémentaire a pris effet.
Selon le syndicat, entre 00h00 le 11 et 23h59 le 17, une « grève pour la fourniture de travail à toutes les périodes normales de travail journalier qui ont une durée prévue de plus de sept heures et 30 minutes, pour le catégories Machiniste ou Machiniste technique ».
Entre 00h00 le 11 et 23h59 le 17, ils mènent une « grève du travail à toutes les heures normales de travail journalier qui impliquent d’entrer et/ou de sortir du siège entre 00h00 et 06h00 :00, pour machiniste ou machiniste technique », et, entre 00 h 00 le 14 et 23 h 59 le 17, « grève à toutes les périodes normales de travail dont la durée prévue est supérieure à six heures, pour les catégories inspecteur de la traction ou inspecteur en chef de la traction ”.
Le tribunal arbitral a décrété des prestations minimales d’environ 30% au niveau national, ainsi que ce qui est nécessaire pour la sécurité et l’entretien des équipements et installations et des services d’urgence et des trains de secours.
En février, des grèves déclenchées par plusieurs syndicats du PC entraînent la suppression de centaines de convois par jour.
AL // MSF