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Le gouvernement autorise 867 milliers d’euros jusqu’en 2024 pour un projet d’hydrogène vert

La plus grande part des charges du projet, d’un montant de 607 384 euros, est autorisée pour cette année, 230 307 pour l’année prochaine et les 30 000 euros restants en 2024, mais le montant fixé pour 2023 et 2024 peut être augmenté du solde qui est déterminé en l’exécution budgétaire des années précédentes, selon le décret publié aujourd’hui dans le Diário da República.

Le ministre de l’Environnement et de l’Action pour le climat, Duarte Cordeiro, et la secrétaire d’État au Budget, Sofia Batalha, qui ont signé le diplôme, déterminent que les charges découlant de l’ordonnance « seront couvertes par des montants adéquats inscrits ou à inscrire » dans le budget du Fonds.

Galp Gás Natural Distribuição, la société responsable de la gestion et du développement du projet Green Pipeline, a soumis une demande au Fonds de soutien à l’innovation (FAI) pour obtenir des incitations financières, dans le but de développer un projet d’injection et de distribution d’hydrogène ( H2) vert dans le réseau de gaz naturel, notamment dans la zone géographique de Seixal.

« Le 24-8-2021, un contrat de concession incitatif a été attribué entre le FAI et Galp Gás Natural Distribuição, pour soutenir le projet de pipeline vert, avec une valeur incitative maximale de 867 692,81 euros, ce qui correspond à un taux de 85,43 % du projet coût, qui a une durée de 27 mois », lit-on dans le document.

Les gouvernants, dans le préambule du diplôme, rappellent que le FAI s’est éteint fin 2021, ayant été remplacé par le Fonds pour l’environnement, et soulignent qu’il est nécessaire que ce fonds assure tout le traitement juridique des processus qui sont en cours les années précédentes.

Le Fonds de soutien à l’innovation ne relevait pas du budget de l’État.

Le « Projet de pipeline vert » est dirigé par Galp Gás Natural Distribuição (GGND) et compte sur la participation de plusieurs partenaires, de l’ingénierie à la construction, réunissant des contributions d’universités et d’institutions publiques et privées.

L’hydrogène vert, un carburant 100% renouvelable, sera produit dans le parc industriel de Seixal, grâce à un partenariat entre GGND et la société portugaise Gestene.

Dans une première phase du projet, 2 % d’hydrogène seront injectés dans le réseau de gaz naturel, augmentant progressivement ce pourcentage jusqu’à un maximum de 20 % sur une période de deux ans.

L’ensemble du processus sera contrôlé et contrôlé en détail par un groupe d’experts, afin que ce projet puisse servir d’exemple de bonnes pratiques pour d’autres projets futurs, tant au niveau national qu’international.

VP (RIYP) // CSJ

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