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L’ADSE envisage de dénoncer la convention dans les zones où les services et les médecins sont insuffisants

Dans une déclaration aux bénéficiaires de l’ADSE publiée ce jour, le Conseil d’administration du sous-système de santé des salariés et retraités de l’Administration publique exprime une « étrangeté » par rapport à la demande de retrait de la convention d’actes ou d’examens qui « n’ont subi aucune modification ». dans la nouvelle table et qu’ils étaient fournis jusqu’à présent aux mêmes prix ».

Dans ce cadre, il donne comme exemples les endoscopies ou coloscopies, « ou la demande de retrait de la convention d’actes ou d’examens médicaux qui, au contraire, ont subi une énorme augmentation dans le nouveau tableau, comme c’est le cas de certaines consultations de spécialité. , alors que tous ont subi une augmentation de 35%, à l’exception de la pédiatrie, qui a augmenté de 90% par rapport aux prix pratiqués auparavant ».

La position de l’ADSE fait suite à des informations rendues publiques et « au vu des positions prises publiquement par les groupes CUF et Luz », concernant les nouveaux tableaux du régime convenu, entrés en vigueur le 1er septembre, qui rendent compte de ces prestataires souhaitent exclure du champ d’application de la convention certains actes cliniques.

« Pour défendre le maintien d’un service de qualité à ses bénéficiaires, l’ADSE envisage la possibilité de dénoncer la convention dans les zones ou zones où il est vérifié que la prestation de services par un prestataire n’est pas intégrée ou que le personnel clinique affecte l’accord. n’est pas suffisant et chaque fois que des alternatives viables sont sauvegardées pour rediriger le bénéficiaire au sein du réseau de prestataires contractuels », l’avis fait référence aux bénéficiaires.

Le Conseil d’Administration souligne également qu’au nom de la prévisibilité des coûts supportés par les bénéficiaires, et compte tenu de l’équilibre des tableaux, « il n’acceptera pas que dans un même tableau, en plus du nombre d’actes convenus , il existe un tel nombre d’actes sous le régime libre qui met en péril la cohérence des tableaux, ainsi que l’exhaustivité du service rendu au bénéficiaire ».

En même temps, il réitère que, déjà cette semaine, il a conclu qu’il y a un besoin d’ajuster les tableaux en ce qui concerne les naissances, les tests psychologiques, ainsi que les chirurgies de thyroïdectomie, hernie et gastrectomie partielle.

Afin que les bénéficiaires puissent connaître à l’avance le régime applicable aux actes auxquels ils souhaitent accéder, le conseil d’administration dirigé par Manuela Faria veille à ce que ADSE Direta disposera toujours d’informations à jour avec l’identification des prestataires qui fournissent des actes dans le cadre de la table sous le régime convenu.

LT // EA

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